Leonard de Vinci et Mona Lisa - Union Etheree
Mona Lisa et Léonard de Vinci se sont reconnus mutuellement dans la pureté de leurs regards au cours des longues heures de poses du modèle près de son peintre. Mais comment a-t-il donc fait pour traduire leur union éthérée avec seulement de la peinture ?
Mona Lisa, jeune mère d'une trentaine d'années de moins que Léonard de Vinci, découvre une forme d'amour sans ego, au-delà de la polarité sexuelle. L'amour qui ne pense qu'à offrir : celui d'une mère pour son enfant. Peut-être reconnaît-elle alors dans le regard pénétrant du peintre le respect et la profondeur d'un amour venu d'ailleurs : celui dont la jeune maturité est encore fragilisée par la recherche d'équilibre entre le mystique et l'humain, un amour au-delà de la notion du temps.
Léonard de Vinci a réussi à concrétiser leur union éthérée en fondant l’expression de chacun des 2 visages dans un seul portrait. Le regard de La Joconde semble sortir du tableau pour pénétrer le fond du coeur de chacun, occultant ainsi notre ego qui, lui, est au service des sens.
De ce regard émane une profonde compassion pour la condition humaine.
Le sourire irradie l’expérience d’une connaissance intérieure, au delà des règles et des lois de ce monde physique.
Cette union éthérée était-elle réellement humaine, ou bien était-elle seulement un reflet de la rencontre de 2 âmes libérées ?
Copyrightfrance : Texte déposé le 24 janvier 2007
=> => Fusion des regards de Léonard de Vinci et de Mona Lisa
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Mona Lisa, jeune mère d'une trentaine d'années de moins que Léonard de Vinci, découvre une forme d'amour sans ego, au-delà de la polarité sexuelle. L'amour qui ne pense qu'à offrir : celui d'une mère pour son enfant. Peut-être reconnaît-elle alors dans le regard pénétrant du peintre le respect et la profondeur d'un amour venu d'ailleurs : celui dont la jeune maturité est encore fragilisée par la recherche d'équilibre entre le mystique et l'humain, un amour au-delà de la notion du temps.
Léonard de Vinci a réussi à concrétiser leur union éthérée en fondant l’expression de chacun des 2 visages dans un seul portrait. Le regard de La Joconde semble sortir du tableau pour pénétrer le fond du coeur de chacun, occultant ainsi notre ego qui, lui, est au service des sens.
De ce regard émane une profonde compassion pour la condition humaine.
Le sourire irradie l’expérience d’une connaissance intérieure, au delà des règles et des lois de ce monde physique.
Cette union éthérée était-elle réellement humaine, ou bien était-elle seulement un reflet de la rencontre de 2 âmes libérées ?
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